Ca fait un mois que j'ai ce quatrième album de High on fire, et même s'il me semble moins passionnant et moins impressionnant que les deux précédents, je n'arrive pas à ne pas le faire tourner. C'est le disque qui tourne le plus depuis: electro techno indus dub et autre métal habituels n'arrivent pas à le remettre plus de trois jours au placard. Ce disque blues-gros-metal-préhistorique paraît pourtant presque anecdotique, on peut énumérer les influences / horizons, le chant d'anselmo (down), ou de lemmy et d'autres figures, je sais pas, il m'a déçu à la première écoute (trop accessible?), mais quoi de la maîtrise du fun du plaisir qui transpirent suffisent.