• Ce serait comme un clip.


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  • Le concert s'est tenu ce 12 décembre de haute tenue. Ma caméra a enregistré tant bien que mal le son amplifié et littéralement spatial de ces bonhommes à capuches. La video (courte; ma batterie merdouillant) est visible ici ou . De même pour portradium qui ouvre.

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  • J'avais déjà dit ce que je pensais de l'album Flight of the Behemot de sunno))), mais j'en profite pour relayer une historiette. C'est FWTBT, le dernier morceau de cet album mon préferé. Lourdeurs des guitares, basse pachydermique et lente comme un behemot, râles de je ne sais pas quel encapuchonné, bref du bon. Et ben voilà le titre du-dit morceau FWTBT est l'acronyme de For Whom The Bell Tolls, l'une des chansons les plus épiques et dramatiques de Metallica (Ride the lightning, 1984). D'ailleurs le morceau de sunno))) s'ouvre avec un gros "dong". Comme chacun sait, Metallica se réfère au roman d'Hemingway, autour de l'engagement et de la guerre d'Espagne, texte que je n'ai pas lu. Alors quel rapport? Voilà l'historiette: un des types de sunno))) avait rêvé que lors de l'accident qui causa la mort du bassiste révéré de Metallica, en fait c'est le batteur qui décéda, causant une perte moindre aux yeux d'adorateurs musicals lovecraftiens.

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  • Ca fait un mois que j'ai ce quatrième album de High on fire, et même s'il me semble moins passionnant et moins impressionnant que les deux précédents, je n'arrive pas à ne pas le faire tourner. C'est le disque qui tourne le plus depuis: electro techno indus dub et autre métal habituels n'arrivent pas à le remettre plus de trois jours au placard. Ce disque blues-gros-metal-préhistorique paraît pourtant presque anecdotique, on peut énumérer les influences / horizons, le chant d'anselmo (down), ou de lemmy et d'autres figures, je sais pas, il m'a déçu à la première écoute (trop accessible?), mais quoi de la maîtrise du fun du plaisir qui transpirent suffisent.

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  • Les fois précédentes, j'écoutais cet abum de Sunno))) sur ma chaîne pour bénéficier des grasses basses qui me semblaient appropriées pour l'album en question, qui a pour objectif de retourner le ventre à coups d'infrabasse. Mais cet envol de behemoth me paraissaît anecdotique, je pouvais faire la cuisine en l'écoutant, et puis lorsque le disque s'arrête: du silence donc, mais rien de fou , seulement l'impression que ce disque me servait seulement à me protéger des agressions sonores émanant de l'extérieur (bruits du voisin, de circulation, travaux etc...). Très décevant n'est-ce pas. D'autant plus que la présence de Masamai Akita (Merzbow) en guest sur deux morceaux me soaûlait plutôt: présence des bruits stridants fuites de gaz typiques de Merzbow, ritournelle au piano décadent digne de mon premier album goth, et pas de gros riff gras et tremblant.

    Mais lors d'une insomnie, j'ai réecouté mais au casque. Et là oui tout redémarre en grande fanfare, on est bien accroché au corps d'un monstre fabuleux qui nous emmène aux pieds de tours immnenses, survole d'impérieuses contrées aux couleurs acides. Notre respiration est soumise au rythme lent et monolithique ( deux trois accords par minute) comme le corps d'une femme enceinte est contrainte par l'évolution du nouveau corps qu'elle conçoit. Et les ritournelles au piano ne m'agacent plus larvés dans la mélasse, déchirés dans la stridance de Merzbow. très beau morceau de fin, dans lequel la batterie apparaît: des coups étouffés et secrets rendent cet objet sombre et présent.


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